Gary Pierre Paul Charles (GPPC) n'est pas seulement un homme de micro. Il est aussi présent sur la twittosphère. En effet, il combine média traditionnel et média alternatif pour mieux défendre ses intérêts personnels.
Sa dernière sortie en date prend pour cible l'ancien bureau du Sénat de la République dont il qualifie la gestion financière de chaotique. Allons un peu plus en détails sur des faits pour mieux comprendre comment GPPC s'adonne à un travail de sape pour défendre un emploi bien rémunéré pour sa femme Wana, ainsi connue.
Nous sommes en janvier 2018. Le Sénat vient d'élire un Bureau. GPPC entame des démarches pour que sa femme Wana soit la nouvelle Secrétaire Générale en charge des dossiers administratifs et financiers du Grand Corps. Tractations, manoeuvres, pourparlers ... Wana n'accède pas à la fonction, ce qui ne manque pas d'attiser la rage de GPPC qui espérait prendre le contrôle des milliards de gourdes du budget de la Chambre Haute. Peine perdue ... Wana n'est pas nommée. GPPC est sorti bredouille. Et depuis lors, il commencait à compter les jours du bureau pour consommer sa vengeance ultérieure.
Cependant, comme le richissime analyste politique a beaucoup soif d'argent, il a encore sollicité du bureau du Sénat 3 millions de gourdes pour l'organisation de l'Assemblée Nationale du 8 janvier 2018. Nouveau refus! Nouvel échec pour le richissime analyste politique et sa femme spécialisée dans le vol classique des deniers de l'État sous couvert de firmes-bidon, de surfacturation etc. Ces deux événements sont révélateurs du mode opératoire de GPPC: 1- Une sollicitation de faveur 2- une attaque cinglante en cas de refus.
On ne peut pas construire une société démocratique avec des directeurs d'opinion aussi corrompus. Et il serait lâche de la part de la société haïtienne d'accepter pareils comportements vils et sans éthique.
L'histoire retiendra également qu'une firme de la femme de GPPC a empoché des millions pour la construction de bureaux départementaux pour le Sénat. Résultat: l'argent s'est envolé en fumée. Et GPPC a tout fait pour que ce dossier soit enterré, donc inconnu de l'opinion publique.
GPPC est à jamais démasqué. Personne ne le prend au sérieux. Il est un simple fouineur de pain qui s'enrichit à coup de chantage, de manipulation malsaine et d'autres pratiques déloyales. Sa dernière sortie contre l'ancien bureau du Sénat est un échec pitoyable.
Malheureusement pour GPPC, dès les premiers jours de janvier 2018, tous les employés du Sénat savaient ce qu'il colportait pour faire nommer sa femme à réputation mafieuse.
Si GPPC a besoin d'informations, qu'il se rende au Sénat. Qu'il fasse un micro-trottoir pour enregistrer les déclarations des employés heureux de bénéficier mensuellement du renflouement de la carte de débit. Qu'il vienne vérifier aussi les documents comptables, l'état de compte du Sénat. En effet, sur un budget de 2 milliards de gourdes, seulement 500 millions, soit 25% sont dépensés d'octobre 2017 à janvier 2018. Donc, le nouveau bureau a 1 milliard 500 millions de gourdes (75% du budget) de marge de manoeuvre de janvier au 30 septembre 2018. Les chiffres sont éloquents. La gestion de l'ancien bureau est plus que régulière. Et ce n'est pas le richissime analyste politique qui va insinuer le contraire.
GPPC doit rectifier le tir s'il veut continuer à protéger sa femme Wana dont les combines financières sont désormais un secret de polichinelle. À bon entendeur, salut!
Raoul Louidor PIERRE LOUIS
18 Janvier 2018, Port-au-Prince
Sa dernière sortie en date prend pour cible l'ancien bureau du Sénat de la République dont il qualifie la gestion financière de chaotique. Allons un peu plus en détails sur des faits pour mieux comprendre comment GPPC s'adonne à un travail de sape pour défendre un emploi bien rémunéré pour sa femme Wana, ainsi connue.
Nous sommes en janvier 2018. Le Sénat vient d'élire un Bureau. GPPC entame des démarches pour que sa femme Wana soit la nouvelle Secrétaire Générale en charge des dossiers administratifs et financiers du Grand Corps. Tractations, manoeuvres, pourparlers ... Wana n'accède pas à la fonction, ce qui ne manque pas d'attiser la rage de GPPC qui espérait prendre le contrôle des milliards de gourdes du budget de la Chambre Haute. Peine perdue ... Wana n'est pas nommée. GPPC est sorti bredouille. Et depuis lors, il commencait à compter les jours du bureau pour consommer sa vengeance ultérieure.
Cependant, comme le richissime analyste politique a beaucoup soif d'argent, il a encore sollicité du bureau du Sénat 3 millions de gourdes pour l'organisation de l'Assemblée Nationale du 8 janvier 2018. Nouveau refus! Nouvel échec pour le richissime analyste politique et sa femme spécialisée dans le vol classique des deniers de l'État sous couvert de firmes-bidon, de surfacturation etc. Ces deux événements sont révélateurs du mode opératoire de GPPC: 1- Une sollicitation de faveur 2- une attaque cinglante en cas de refus.
On ne peut pas construire une société démocratique avec des directeurs d'opinion aussi corrompus. Et il serait lâche de la part de la société haïtienne d'accepter pareils comportements vils et sans éthique.
L'histoire retiendra également qu'une firme de la femme de GPPC a empoché des millions pour la construction de bureaux départementaux pour le Sénat. Résultat: l'argent s'est envolé en fumée. Et GPPC a tout fait pour que ce dossier soit enterré, donc inconnu de l'opinion publique.
GPPC est à jamais démasqué. Personne ne le prend au sérieux. Il est un simple fouineur de pain qui s'enrichit à coup de chantage, de manipulation malsaine et d'autres pratiques déloyales. Sa dernière sortie contre l'ancien bureau du Sénat est un échec pitoyable.
Malheureusement pour GPPC, dès les premiers jours de janvier 2018, tous les employés du Sénat savaient ce qu'il colportait pour faire nommer sa femme à réputation mafieuse.
Si GPPC a besoin d'informations, qu'il se rende au Sénat. Qu'il fasse un micro-trottoir pour enregistrer les déclarations des employés heureux de bénéficier mensuellement du renflouement de la carte de débit. Qu'il vienne vérifier aussi les documents comptables, l'état de compte du Sénat. En effet, sur un budget de 2 milliards de gourdes, seulement 500 millions, soit 25% sont dépensés d'octobre 2017 à janvier 2018. Donc, le nouveau bureau a 1 milliard 500 millions de gourdes (75% du budget) de marge de manoeuvre de janvier au 30 septembre 2018. Les chiffres sont éloquents. La gestion de l'ancien bureau est plus que régulière. Et ce n'est pas le richissime analyste politique qui va insinuer le contraire.
GPPC doit rectifier le tir s'il veut continuer à protéger sa femme Wana dont les combines financières sont désormais un secret de polichinelle. À bon entendeur, salut!
Raoul Louidor PIERRE LOUIS
18 Janvier 2018, Port-au-Prince
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